miércoles, 9 de julio de 2014

Premio en inglés. 2º ESO. Alejandro Alonso.




´Premio inglés 1º ESO.

LUCY

The lights went out and Lucy, the little girl of seven years that was sleeping, started crying.

It was not the first time that it had happened. The lights had gone off often before, but she had never heard wind blows like this. The window of her room sounded as if somebody was calling her. She thought that it was the wind, and she tried to sleep. Within a few minutes the door of her room opened slowly, and she saw the large shadow in the light of the moon. She was terrified. She thought that it was an enormous monster that was coming to devour her. But she was confused. It was only her grandmother who, startled by her weepings, had gotten up to calm her. She soon left the room, not before giving Lucy a kiss on the cheek and telling her that she should dream of princesses. But princesses were the things she dreamt less of, she was only thinking about monsters that were scaring her. She didn’t forget about the sounds at the window, she couldn’t sleep. She got up from her bed to go to the kitchen to drink water. It seemed to take forever, though the stairs were the only thing that separated her from the kitchen. She was not able to take a step without turning her head, and ran back to her room.

She couldn’t sleep, her only thought was that tomorrow she had to get up early to go to school.

The thought made her cry, but, luckily, she fell asleep, and thought that if she didn’t sleep enough, the following day she wouldn’t have enough energy to go to school.

jueves, 29 de mayo de 2014

PREMIO EN FRANCÉS 1º BACHILLERATO
Aránzazu Brox B 1ºC
LA FEMME COURAGEUSE
La lumière s’est éteinte, c’était un signe, qu’il était déjà arrivé. 
Elle était déjà couchée, elle soupçonnait qu’il avait beaucoup bu, de l’alcool bien sûr, comme toujours.
Il avait commencé à crier, comme il faisait normalement, en l’insultant et en la provocant pour se disputer. Elle était très patiente, donc, elle tout simplement écoutait ses mots et fermait les yeux.

Elle n’était pas suffisamment courageuse pour se défendre ou pour lui contrarier. Il commençait à marcher d’un côté à l’autre, à se fâcher de plus en plus.
Elle essayait de le tranquilliser et lui faire réfléchir un peu mais c’était impossible, en plus c’était un homme très agressif et davantage quand il avait fumé et avait bu de l’alcool.
Après qu’il avait beaucoup crié et avait été très agressif il l’a cherchée pour l’agresser et pour lui faire payer sa colère.
Elle avait des blessures par tout son corps et elle ne pouvait que demander de l’aide et essayer de se défendre comme elle pouvait parce que, en plus, elle était très fragile et sensible.
Il n’avait pas de compassion, comme si elle était un sac ou un mur, il n’arrêtait pas de se venger sur elle.
Puis après, quand  il croyait qu’il était convenable de finir de l’agresser, il s’est enlevé ses vêtements et tranquillement, comme si de rien n’était passé, il s’est couché.
La jeune fille, qui était par terre, ne pouvait que pleurer et se soigner les blessures.
C’est le 3 avril 2014, Léa se lève rapidement. Elle sourit, il ne s’agissait que d’un cauchemar.
Ça fait trois mois qu’elle est divorcée et elle ne doit plus écouter les cris de ce cruel homme sans cœur, elle peut désormais dormir tranquille, ses blessures ne sont que le souvenir qui ne va plus se répéter.
Finalement elle a été courageuse pour porter une plainte contre son ex-mari et se séparer de lui.


Pour ces femmes qui souffrent de la violence de genre je vous encourage à être vaillantes et à vous éloigner de ces personnes qui ne vous font que du mal. 
PREMIO EN FRANCÉS 4º ESO
Blas Fernández 04ºB

La lumière s'est éteinte et j'ai commencé à m'endormir, une douleur sortait de mon dos, et ma tête a commencé à tourner.

La chaleur sortait de mon cœur et le froid a surgi de mes mains et pieds; un bruit m'a réveillé pendant un moment, mon copain parlait et j'ai réfléchi, pas beaucoup, à jenesaisquoi et je suis retourné, prêt à dormir, mais un autre copain a demandé du Tipp-Ex, en coupant mon rêve et mon envie de dormir.
J'ai fait un effort et j'ai pu fermer les yeux et, en position pensive, comme une pose, continuer mon rêve.

Soupirs par ci et lá,¨Ces devoirs sont horribles, mais c'est pire la monotonie¨, j'ai pensé, ¨On a déjà la monotonie de faire toujours ces redactions¨, ma tête remplie, ¨Autres ans c'était si amusant¨.Dernière réflexion.

Je regardais l'heure, les travaux de mes copains, meilleurs, pires, imaginatifs, réels, tout cela n'importait pas, la créativité,  l'orthographie, tout cela pour la calification, et la calification pour la note finale.
Et la note ne sert à rien réellement.

Je voyais des copains qui comptaient le nombre de mots, d'autres qui pensaient, mes doigts pendant que j'ecrivais tous ce que je voyais, d'autres avec le portable, la proffeseure qui corrigeait , ce que je crois sont des rédactions comme celle-ci même.

En définitive l'heure était presque finie.C'était moins le quart, quelques-uns ont déjà fini depuis longtemps, d'autres etaient pour finir, mais ma rédaction était faite, et faite sur le temps, je ne peux pas faire la rédaction plus vite oú lente, ma rédaction s'agit du passage du temps.

À ce moment-là, moins-dix, je me suis déjà réveillé, je n'ai pas pu dormir. Mais en regardant le bon côté j'ai fini une rédaction en racontant ce qui s'était passe et en suivant la consigne.Mais je ne pourrais pas raconter tout, la fin vous devriez l'imaginer.....
PREMIO 2º ESO
Nora Rihawi 02ºA
Se apaga la luz y yo, asustada, decido esconderme tras el escritorio. Espero a ver si aparece alguien de la tenebrosa oscuridad. Espero varios minutos y nadie aparece así que decido  salir de mi escondite y asomarme por la puerta. Lenta y cautelosamente me acerco a ella. Cada segundo que pasa me parece eterno, me parece que alguien va a aparecer y me va a atacar. Me asomo a ambos lados de la puerta sin que nadie me pudiese ver y veo que tengo vía libre para avanzar por la casa y buscar la salida de esta.
Ya he pasado por dos puertas y me empiezo a sentir más tranquila. Incluso llego a pensar que las luces se fueron por la tormenta que hay fuera… Hasta que oigo un ruido. Y no es precisamente un ruido que se produce por el roce de dos objetos que caen por la fuerza de la gravedad, sino que eran ruidos de presencias de otros seres vivos en la casa.
 Para mi propia seguridad, decido esconderme en la siguiente habitación por la que pase. Sigo oyendo ruidos y me empiezo a asustar cada vez más. Entonces empiezo a notar la mirada de alguien sobre mí, pero decido no mirar por si acaso grito y descubren mi paradero.
Finalmente encuentro esa deseada habitación que sería mi salvación. Giro mi cabeza para ver cómo es la sala a la que me dirijo y veo una cara deforme. Parecía que le habían quemado la cara menos un ojo. No tenía nariz, sólo tenía un ojo y no se le veían los labios; pero, para mi disgusta, se le ven las encías. Siento que mi respiración se acelera y me cuesta tanto respirar que tengo esa necesidad de abrir la boca para poder respirar. Empieza a correr como si fuese un movimiento involuntario. Corro por ese pasillo lleno de muebles de madera rotos con la esperanza de que nadie me esté siguiendo, hasta que tropiezo con un trozo de madera roto. Escucho una voz masculina hablarme, mientras que unos brazos fuertes me sujetan de los hombros.

-          ¿Te creías que te saldrías con la tuya y que no te encontraría?
PREMIO DE 1º ESO.
Nadia Brzostowicz. 01ºA
La luz se apaga y en las entrañas del planeta surge una jaula plateada, donde yace encerrada la locura. Un pacto sellado con la misma Reina de la Noche, que ahora la mantiene prisionera dentro de su propia cuerpo, durmiendo un sueño eterno. Unas alas de fuego, ya inservibles, brotan de su espalda. Su luz se apaga ahogándose en un resignado llanto. “Quizá si lo deseo con fuerza…” murmuran sus pensamientos. “Quizá se lo deseo con fuerza podré volar hacia la Luna una vez más…”. Su corazón late lentamente, sumiéndose en las profundidades de su cárcel. Su cuerpo se paraliza, extendiendo una inmovilidad pétrea por todo sus ser, aferrándose a su alma, pudriéndola más con cada instante que pasaba. Espesas lágrimas brotaban de sus ojos ya cerrados, corroyendo suavemente las cadenas que le impiden volar. Sumida en un sueño imperturbable, la locura sueña. Sueña que, quizá una vez más podrá sentir el brillo de la Luna sobre su pequeño cuerpo y que una vez más podrá salir fuera, a ese mundo que tanto anhela. Esperar pacientemente a la noche, cuando la indefensa crisálida se convierta en una mariposa sanguinaria e inmensa que engendra no admiración sino pesadillas, que no eleva un cántico de vida allí donde pasa sino que deja una estela de muerte.  Esa es la locura, encerrada en una jaula de plata, que todos llevamos inconscientemente en nuestras cabezas, y que aguarda la noche para transformarse en mariposa, y salir a sentir la Luna sobre su cuerpo. 

jueves, 10 de octubre de 2013

Esta página va a estar dedicada a recoger las creaciones literarias que vayáis haciendo. Espero que disfrutéis mucho de las propuestas de vuestros compañeros.