Muestrario de @utores
miércoles, 9 de julio de 2014
´Premio inglés 1º ESO.
LUCY
The lights went out and Lucy, the little girl of seven years that was sleeping, started crying.
It was not the first time that it had happened. The lights had gone off often before, but she had never heard wind blows like this. The window of her room sounded as if somebody was calling her. She thought that it was the wind, and she tried to sleep. Within a few minutes the door of her room opened slowly, and she saw the large shadow in the light of the moon. She was terrified. She thought that it was an enormous monster that was coming to devour her. But she was confused. It was only her grandmother who, startled by her weepings, had gotten up to calm her. She soon left the room, not before giving Lucy a kiss on the cheek and telling her that she should dream of princesses. But princesses were the things she dreamt less of, she was only thinking about monsters that were scaring her. She didn’t forget about the sounds at the window, she couldn’t sleep. She got up from her bed to go to the kitchen to drink water. It seemed to take forever, though the stairs were the only thing that separated her from the kitchen. She was not able to take a step without turning her head, and ran back to her room.
She couldn’t sleep, her only thought was that tomorrow she had to get up early to go to school.
The thought made her cry, but, luckily, she fell asleep, and thought that if she didn’t sleep enough, the following day she wouldn’t have enough energy to go to school.
The lights went out and Lucy, the little girl of seven years that was sleeping, started crying.
It was not the first time that it had happened. The lights had gone off often before, but she had never heard wind blows like this. The window of her room sounded as if somebody was calling her. She thought that it was the wind, and she tried to sleep. Within a few minutes the door of her room opened slowly, and she saw the large shadow in the light of the moon. She was terrified. She thought that it was an enormous monster that was coming to devour her. But she was confused. It was only her grandmother who, startled by her weepings, had gotten up to calm her. She soon left the room, not before giving Lucy a kiss on the cheek and telling her that she should dream of princesses. But princesses were the things she dreamt less of, she was only thinking about monsters that were scaring her. She didn’t forget about the sounds at the window, she couldn’t sleep. She got up from her bed to go to the kitchen to drink water. It seemed to take forever, though the stairs were the only thing that separated her from the kitchen. She was not able to take a step without turning her head, and ran back to her room.
She couldn’t sleep, her only thought was that tomorrow she had to get up early to go to school.
The thought made her cry, but, luckily, she fell asleep, and thought that if she didn’t sleep enough, the following day she wouldn’t have enough energy to go to school.
jueves, 29 de mayo de 2014
PREMIO EN FRANCÉS 1º BACHILLERATO
Aránzazu Brox B 1ºC
LA FEMME COURAGEUSE
La lumière s’est éteinte, c’était un signe, qu’il était
déjà arrivé.
Elle était déjà couchée, elle soupçonnait qu’il avait
beaucoup bu, de l’alcool bien sûr, comme toujours.
Il avait commencé à crier, comme il faisait normalement,
en l’insultant et en la provocant pour se disputer. Elle était très patiente,
donc, elle tout simplement écoutait ses mots et fermait les yeux.
Elle n’était pas suffisamment courageuse pour se défendre ou pour lui contrarier. Il commençait à marcher d’un côté à l’autre, à se fâcher de plus en plus.
Elle essayait de le tranquilliser et lui faire réfléchir
un peu mais c’était impossible, en plus c’était un homme très agressif et
davantage quand il avait fumé et avait bu de l’alcool.
Après qu’il avait beaucoup crié et avait été très
agressif il l’a cherchée pour l’agresser et pour lui faire payer sa colère.
Elle avait des blessures par tout son corps et elle ne
pouvait que demander de l’aide et essayer de se défendre comme elle pouvait
parce que, en plus, elle était très fragile et sensible.
Il n’avait pas de compassion, comme si elle était un sac
ou un mur, il n’arrêtait pas de se venger sur elle.
Puis après, quand il
croyait qu’il était convenable de finir de l’agresser, il s’est enlevé ses
vêtements et tranquillement, comme si de rien n’était passé, il s’est couché.
La jeune fille, qui était par terre, ne pouvait que
pleurer et se soigner les blessures.
C’est le 3 avril 2014, Léa se lève rapidement. Elle
sourit, il ne s’agissait que d’un cauchemar.
Ça fait trois mois qu’elle est divorcée et elle ne doit
plus écouter les cris de ce cruel homme sans cœur, elle peut désormais dormir
tranquille, ses blessures ne sont que le souvenir qui ne va plus se répéter.
Finalement elle a été courageuse pour porter une plainte
contre son ex-mari et se séparer de lui.
Pour ces femmes qui souffrent de la violence de genre je
vous encourage à être vaillantes et à vous éloigner de ces personnes qui ne
vous font que du mal.
PREMIO EN FRANCÉS 4º ESO
Blas Fernández 04ºBLa lumière s'est éteinte et j'ai commencé à m'endormir, une douleur sortait de mon dos, et ma tête a commencé à tourner.
La chaleur sortait de mon cœur et le froid
a surgi de mes mains et pieds; un bruit m'a réveillé pendant un moment, mon
copain parlait et j'ai réfléchi, pas beaucoup, à jenesaisquoi et je suis
retourné, prêt à dormir, mais un autre copain a demandé du Tipp-Ex, en coupant
mon rêve et mon envie de dormir.
J'ai fait un effort et j'ai pu fermer les
yeux et, en position pensive, comme une pose, continuer mon rêve.
Soupirs par ci et lá,¨Ces devoirs sont
horribles, mais c'est pire la monotonie¨, j'ai pensé, ¨On a déjà la monotonie
de faire toujours ces redactions¨, ma tête remplie, ¨Autres ans c'était si
amusant¨.Dernière réflexion.
Je regardais l'heure, les travaux de mes
copains, meilleurs, pires, imaginatifs, réels, tout cela n'importait pas, la
créativité, l'orthographie, tout cela
pour la calification, et la calification pour la note finale.
Et la note ne sert à rien réellement.
Je voyais des copains qui comptaient le
nombre de mots, d'autres qui pensaient, mes doigts pendant que j'ecrivais tous
ce que je voyais, d'autres avec le portable, la proffeseure qui corrigeait , ce
que je crois sont des rédactions comme celle-ci même.
En définitive l'heure était presque
finie.C'était moins le quart, quelques-uns ont déjà fini depuis longtemps,
d'autres etaient pour finir, mais ma rédaction était faite, et faite sur le
temps, je ne peux pas faire la rédaction plus vite oú lente, ma rédaction s'agit
du passage du temps.
À ce moment-là, moins-dix, je me suis déjà
réveillé, je n'ai pas pu dormir. Mais en regardant le bon côté j'ai fini une
rédaction en racontant ce qui s'était passe et en suivant la consigne.Mais je
ne pourrais pas raconter tout, la fin vous devriez l'imaginer.....
PREMIO 2º ESO
Nora Rihawi 02ºA
Nora Rihawi 02ºA
Se apaga la luz y yo, asustada, decido esconderme tras el
escritorio. Espero a ver si aparece alguien de la tenebrosa oscuridad. Espero
varios minutos y nadie aparece así que decido
salir de mi escondite y asomarme por la puerta. Lenta y cautelosamente
me acerco a ella. Cada segundo que pasa me parece eterno, me parece que alguien
va a aparecer y me va a atacar. Me asomo a ambos lados de la puerta sin que
nadie me pudiese ver y veo que tengo vía libre para avanzar por la casa y
buscar la salida de esta.
Ya he pasado por dos puertas y me empiezo a sentir más
tranquila. Incluso llego a pensar que las luces se fueron por la tormenta que
hay fuera… Hasta que oigo un ruido. Y no es precisamente un ruido que se
produce por el roce de dos objetos que caen por la fuerza de la gravedad, sino
que eran ruidos de presencias de otros seres vivos en la casa.
Para mi propia
seguridad, decido esconderme en la siguiente habitación por la que pase. Sigo
oyendo ruidos y me empiezo a asustar cada vez más. Entonces empiezo a notar la
mirada de alguien sobre mí, pero decido no mirar por si acaso grito y descubren
mi paradero.
Finalmente encuentro esa deseada habitación que sería mi
salvación. Giro mi cabeza para ver cómo es la sala a la que me dirijo y veo una
cara deforme. Parecía que le habían quemado la cara menos un ojo. No tenía
nariz, sólo tenía un ojo y no se le veían los labios; pero, para mi disgusta,
se le ven las encías. Siento que mi respiración se acelera y me cuesta tanto
respirar que tengo esa necesidad de abrir la boca para poder respirar. Empieza
a correr como si fuese un movimiento involuntario. Corro por ese pasillo lleno
de muebles de madera rotos con la esperanza de que nadie me esté siguiendo,
hasta que tropiezo con un trozo de madera roto. Escucho una voz masculina
hablarme, mientras que unos brazos fuertes me sujetan de los hombros.
-
¿Te creías que te saldrías con la tuya y que no
te encontraría?
PREMIO DE 1º ESO.
Nadia Brzostowicz. 01ºA
La luz se apaga y en las entrañas del planeta surge una
jaula plateada, donde yace encerrada la locura. Un pacto sellado con la misma
Reina de la Noche, que ahora la mantiene prisionera dentro de su propia cuerpo,
durmiendo un sueño eterno. Unas alas de fuego, ya inservibles, brotan de su
espalda. Su luz se apaga ahogándose en un resignado llanto. “Quizá si lo deseo
con fuerza…” murmuran sus pensamientos. “Quizá se lo deseo con fuerza podré
volar hacia la Luna una vez más…”. Su corazón late lentamente, sumiéndose en
las profundidades de su cárcel. Su cuerpo se paraliza, extendiendo una
inmovilidad pétrea por todo sus ser, aferrándose a su alma, pudriéndola más con
cada instante que pasaba. Espesas lágrimas brotaban de sus ojos ya cerrados,
corroyendo suavemente las cadenas que le impiden volar. Sumida en un sueño
imperturbable, la locura sueña. Sueña que, quizá una vez más podrá sentir el
brillo de la Luna sobre su pequeño cuerpo y que una vez más podrá salir fuera,
a ese mundo que tanto anhela. Esperar pacientemente a la noche, cuando la
indefensa crisálida se convierta en una mariposa sanguinaria e inmensa que
engendra no admiración sino pesadillas, que no eleva un cántico de vida allí
donde pasa sino que deja una estela de muerte.
Esa es la locura, encerrada en una jaula de plata, que todos llevamos
inconscientemente en nuestras cabezas, y que aguarda la noche para
transformarse en mariposa, y salir a sentir la Luna sobre su cuerpo.
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